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Offre post doc pour étudier la sécrétion de collagène dans des cellules saines ou fibrotiques (H/F)

Informations générales

Intitulé de l’offre : Offre post doc pour étudier la sécrétion de collagène dans des cellules saines ou fibrotiques (H/F)
Référence : UMR7592-ISHRAO-004
Nombre de Postes : 2
Lieu de travail : PARIS 13
Date de publication : lundi 2 décembre 2024
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 24 mois
Date d’embauche prévue : 1 février 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : entre 3080 € (exp.- 2 ans) et 4290 € (exp. entre 2-7 ans) bruts mensuels selon expérience
Niveau d’études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : Indifférent
Section(s) CN : 22 – Biologie cellulaire, développement, évolution-développement, reproduction

Candidatez avant le 23 décembre 2025 sur le portail emploi CNRS

Missions

Un poste de chercheur post-doctorant est ouvert dans l’équipe « Compartimentation intracellulaire » de l’Institut Jacques Monod (UMR7592CNRS/Université Paris Cité, Paris, France) pour travailler sur un projet qui étudiera la sécrétion des protéines de la matrice extracellulaire.
Tous les animaux possèdent une matrice extracellulaire (MEC), un échafaudage biomécanique en 3D qui définit la forme et la fonction des tissus pluricellulaires. Ses composants les plus abondants sont les collagènes, qui représentent à eux seuls environ 17 % du poids des protéines de l’organisme. Pour que l’assemblage de la MEC soit correct, les cellules doivent sécréter des collagènes pliés et dégrader les collagènes en excès ou mal pliés. Lorsque la sécrétion ou la dégradation se fait mal, la MEC résultante est mal assemblée, ce qui entraîne des problèmes mortels dans la construction des tissus, formant des structures aberrantes telles que des tumeurs ou des cicatrices fibrotiques. Nous étudierons les mécanismes cellulaires de ce tri des collagènes intracellulaires en vue de leur sécrétion ou de leur dégradation dans la voie sécrétoire. Nous nous concentrons sur les complexes moléculaires impliqués dans l’exportation du collagène du réticulum endoplasmique vers l’appareil de Golgi.

Activités

  • Participer à la conception du projet,
  • Utiliser et développer de nouvelles méthodologies,
  • Réaliser des expériences,
  • Analyser et communiquer les résultats,
  • Rédiger des rapports et des articles de recherche.

Le candidat utilisera un large éventail d’approches à l’interface entre la biologie cellulaire et la physiologie, en particulier la microscopie avancée sur des cellules vivantes, la biologie cellulaire (culture de cellules de mammifères, transfection, etc.) et la biologie de l’ADN (cellules de mammifères, transfection, biologie moléculaire…) et la mesure des propriétés de la dynamique des cellules fibrotiques.

Compétences

Le candidat doit être titulaire d’un doctorat (ou l’avoir obtenu avant le début du contrat), en biologie. Le candidat doit être capable de travailler de manière autonome mais aussi en équipe dans le cadre de projets collaboratifs avec des équipes extérieures à l’institut, avoir la capacité de conduire un projet, et doit pouvoir s’exprimer en anglais, à l’écrit et à l’oral.

Contexte de travail

Le Dr Ishier Raote a récemment démarré son équipe avec des collaborations internationales étendues couvrant un large éventail de disciplines, notamment la biologie cellulaire, la biophysique, l’application médicale et la microscopie avancée. L’Institut Jacques Monod, avec son environnement multidisciplinaire, est l’un des principaux centres de recherche fondamentale en biologie en France. Il offre une instrumentation de pointe et une expertise dans les domaines de la cytométrie de flux, de la microscopie électronique et optique, et enfin de la protéomique.

Contraintes et risques

Les risques sont très faibles – il sera nécessaire de travailler avec des solutions chimiques et des lignées cellulaires de mammifères, mais une formation appropriée sera dispensée.